Vous avez déjà étudié le fonctionnement de l’assurance-vie et vous désirez maintenant y investir ? Sachez que les offres sont variées et il est souvent difficile de faire un choix. Pour vous aider à trouver et choisir le produit qui vous correspond, voici quelques questions auxquelles vous devrez répondre.
Quel est votre projet ?
Pour être sûr de choisir un produit qui vous correspond, vous devez d’abord vous demander quel est le but de votre épargne ? Il peut s’agir d’une simple épargne permettant de prévenir les coups durs de la vie, mais cela peut aussi être un désir d’accroissement de capital ou la construction d’un patrimoine pour assurer la retraite. Votre projet peut aussi être tout simplement la réalisation d’un projet, par exemple l’achat d’une voiture, d’un appartement ou le financement d’un voyage. C’est en fonction de votre type de projet que vous pouvez choisir le type de produit et la durée de votre contrat.
Êtes-vous prêt à prendre des risques avec votre fonds ?
L’assurance-vie peut être un placement à risque, selon votre choix, mais le capital peut aussi être garanti tout en évoluant à la hausse petit à petit. C’est notamment le cas avec les fonds en euros. Par contre, avec les fonds en unité, votre capital n’est pas assuré, mais le rendement est plus important. Donc, selon votre goût du risque, vous pouvez choisir la formule qui vous corresponde. Notons que le risque que veut prendre un épargnant avec son argent est un choix personnel. Et avant de prendre une décision, pour avoir plus de renseignements sur le degré de risque d’un capital en assurance-vie, l’épargnant devrait lire le DICI.
Avez-vous des compétences et du temps pour gérer votre épargne ?
En fonction de la réponse à cette question, vous pouvez choisir de prendre en main ou non l’administration de votre contrat d’assurance-vie. Sachez que vous pouvez confier cette tâche à des professionnels en optant pour l’administration sous mandat. Mais vous pouvez aussi gérer vous-même votre épargne avec l’assistance d’un gestionnaire de patrimoine, c’est ce qu’on appelle la gestion pilotée.